mardi 24 novembre 2015

J-161 : La vie, c'est comme une boîte de chocolats

On sait jamais sur quoi on va tomber.
Même si on a tout bien prévu sur le papier comme il faut. (oui, ça, c'est un ajout personnel)


Laissez vous aller ! 

Maman disait toujours : "il faut laisser le passé derrière soi si on veut avancer."

J'aurais tendance à être d'accord avec sa maman. Mais des fois ça vous rattrape, le temps. (Rappelons que le temps est un concept relatif. Zieutez chez Astier ou Pratchett pour la version vulgarisée du phénomène)
*Panique activée*
Ajoutez une bonne dose de variabilité et vous avez mon état interne du moment. Changement de lieu (Back to the North, ya des Stark qui ont eu moins de réussite que moi à ce niveau), de travail probablement, de mode de vie, d'alimentation (petite période de transition chez mes parents oblige), de repères (eh oui, je ne vais plus pouvoir me peser avant un moment ahah), de traitement hormonal ("et si je me faisais poser un implant"...).
*Panique désactivée*

"Ya des fois, comme ça, y'a pas assez de pierres".

Je ne me plains pas du changement. J'ai même plutôt tendance à aimer ça. Mais ça demande de l'énergie pour gérer toutes ces infos. Et dans tout ça, je dois caser mes résolutions de sport et d'alimentation. Et je me sens toujours à deux doigts d'échouer. Vous connaissez la petite voix qui dit "allez, manges des pâtes, tu as d'autres choses à penser que prendre 1h pour te faire à manger" ? Eh bien moi oui. Alors attention, je ne me remets pas à grignotter et j'espère ne pas reprendre mon poids perdu (même si le week-end chez beau papa et belle maman n'a pas franchement aidé). Mais je ne sais pas comment gérer la variabilité : le moindre petit changement a vite fait d'enrayer le processus de perte de poids.

Mamant dit "n'est stupide que la stupidité"

Prenons un exemple. Si je ne peux pas me peser, comment je vais vérifier mes progrès alors que j'ai l'habitude de surveiller tout ça de près ? Est ce que ça ne va pas avoir l'effet pervers de m'autoriser plus d'écarts ? (Ce n'est pas une question rhétorique, je me connais bien)
Ouai. Je suis en train de paniquer là. C'est juste.



Mais au fait, vous connaissez l'expérience des souris ? Celles qui sont dans des boîtes expérimentales et qui reçoivent à manger ? Non ? Je vous l'explique :
Prenez deux groupes de souris. Mettez les dans des boîtes séparées et nourrissez les de la même façon avec la même dose de sport et toutes autres conditions égales. Pour les souris d'une des boîtes, ajoutez une dose de stress. Et regardez leur poids à la fin de la période expérimentale. Bon. Eh bien les stressées deviennent obèses. Tadam.
Le plus drôle : à quel genre de stress sont soumises les souris ? Eh bien on leur pince le début de la queue une fois tous les matins. Et ça suffit. Oui. Oui.

Alors ce que ça va donner pour la grosse souris que je suis ? Suspens !




Jour 204 : "Cours, Forrest, Cours !" (Juste au cas où)

            



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